De quoi s’agit-il ? Depuis 3 ans, nous travaillons à faire rentrer l'entre deux mers «en Transition». Nous nous inspirons de la mouvance des «Villes et Territoires en Transition», d’après Rob Hopkins, enseignant en permaculture en Angleterre. Ces initiatives fleurissent désormais dans le monde entier.
L’objectif est de s’autoriser à rêver le monde de demain pour traduire cet idéal en actes, étape par étape. Nous sommes au quotidien assaillis d’informations qui nous enferment dans l’impuissance : le monde va très mal, mais face à ça que puis-je faire? Pour entrer en transition, nous proposons un niveau d’implication différent : l’initiative citoyenne et collective. Issu d’une vision positive de l’avenir et d’un engagement collectif, l’espoir nous pousse à créer, à inventer des solutions pour demain. Face à l’urgence de l’épuisement des énergies fossiles, la pollution et le réchauffement climatique, il s’agit d' organiser notre «résilience», c’est-à-dire notre capacité à faire face à ces chocs. Pour cette raison, entrer en "transition" rime avec changement, dans une approche transversale de ce qui compose notre société (alimentation, agriculture, transport, éducation, habitat, culture…), et y compris dans ce qui relève d’une transition plus "intérieure", comme l’approche individualiste du lien social et matérialiste de la vie. Un changement plus global passe bien sûr par la transformation des habitudes de vie (et de consommation) de chacun.
"Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes puisse changer le monde. En fait,c'est toujours ainsi que le monde a changé" Margaret MEAD (1901-1978), anthropologue.
Fonctionnement du site : Choisir l'onglet (Accueil, Actualité, Rencontres publiques, Miel, etc...), la page de garde s'affiche. Cliquer ensuite sur le menu déroulant...et bonne lecture.
L’objectif est de s’autoriser à rêver le monde de demain pour traduire cet idéal en actes, étape par étape. Nous sommes au quotidien assaillis d’informations qui nous enferment dans l’impuissance : le monde va très mal, mais face à ça que puis-je faire? Pour entrer en transition, nous proposons un niveau d’implication différent : l’initiative citoyenne et collective. Issu d’une vision positive de l’avenir et d’un engagement collectif, l’espoir nous pousse à créer, à inventer des solutions pour demain. Face à l’urgence de l’épuisement des énergies fossiles, la pollution et le réchauffement climatique, il s’agit d' organiser notre «résilience», c’est-à-dire notre capacité à faire face à ces chocs. Pour cette raison, entrer en "transition" rime avec changement, dans une approche transversale de ce qui compose notre société (alimentation, agriculture, transport, éducation, habitat, culture…), et y compris dans ce qui relève d’une transition plus "intérieure", comme l’approche individualiste du lien social et matérialiste de la vie. Un changement plus global passe bien sûr par la transformation des habitudes de vie (et de consommation) de chacun.
"Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes puisse changer le monde. En fait,c'est toujours ainsi que le monde a changé" Margaret MEAD (1901-1978), anthropologue.
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